Le chemin d’identification de ce « rien » que Flaubert présente comme l’objet (énigmatique) de l’œuvre littéraire idéale, passe par la double expérimentation, inconsciente puis consciente, qu’il fit de sa mort, puis de celles de sa sœur, de ses amis Alfred Le Poittevin et Louis Bouilhet, de son oncle, le « père Parain » et, dans un autre registre,Lire la suite « Gustave Flaubert (15) »
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Gustave Flaubert (8)
Ce qu’il recherche et apprécie durant ce long voyage de 18 mois ce sont, d’une part, les paysages, l’espace, le climat et le mode de vie du sud, un ailleurs oriental ensoleillé dont il confiera depuis Rome à Louis Bouilhet (9.04.1851) qu’il en a « un désir effréné » dont il devient « fou » ; d’autre part, les vestigesLire la suite « Gustave Flaubert (8) »
Les problématiques du blog de Jean-Pierre 