Gustave Flaubert (15)

Le chemin d’identification de ce « rien » que Flaubert présente comme l’objet (énigmatique) de l’œuvre littéraire idéale, passe par la double expérimentation, inconsciente puis consciente, qu’il fit de sa mort, puis de celles de sa sœur, de ses amis Alfred Le Poittevin et Louis Bouilhet, de son oncle, le « père Parain » et, dans un autre registre,Lire la suite « Gustave Flaubert (15) »

Gustave Flaubert (13)

Par son statut de chirurgien-chef/enseignant à l’hôpital de Rouen et les revenus qui en découlent, Achille-Cléophas Flaubert fait partie de la bourgeoisie, mais son activité a pu apparaître aux yeux de Gustave comme autre chose qu’un emploi, notamment par le biais de la dissection des cadavres dont le lien avec l’utilitaire n’est pas immédiatement perceptible,Lire la suite « Gustave Flaubert (13) »

Gustave Flaubert (4)

1 – Première période de la correspondance (réf. édition des œuvres complètes du Club de l’Honnête Homme) : depuis sa première lettre –  à sa grand-mère (le 1er janvier 1830 – il a 9 ans) jusqu’à la lettre de rupture avec Louise Colet (le 6 mars 1855 – il a 34 ans) en passant parLire la suite « Gustave Flaubert (4) »

Gustave Flaubert (3)

La problématique de l’écriture. Le 15 juillet 1839, il est en classe terminale, il aura 18 ans le 12 décembre et il écrit à Ernest Chevalier, un condisciple du collège de Rouen : «  Quant à écrire, j’y ai totalement renoncé, et je suis sûr que jamais on ne verra mon nom imprimé (…) j’ai choisi,Lire la suite « Gustave Flaubert (3) »