LA CAUSE PREMIERE (11)

Si la satisfaction est une coïncidence (sujet/acte) qui ne questionne pas – elle va jusqu’à l’euphorie (du grec euphorein = porter facilement)  –  , le questionnement – dont le pourquoi ? – est suscité par une dissociation, à la fois conséquence et cause d’une insatisfaction qui cherche une réponse d’apaisement. Les ambiguïtés du discours de NietzscheLire la suite « LA CAUSE PREMIERE (11) »

LA CAUSE PREMIERE (10)

Considérer l’œuvre philosophique comme un conte-discours (§7) revient à dire qu’elle propose un récit dont les personnages du conte-récit sont remplacées par des idées-concepts dont les aventures ne sont plus annoncées par le « Il était une fois » d’un passé fictif, mais racontées sous la forme de l’analyse pour un questionnement qui concerne le fait d’être.Lire la suite « LA CAUSE PREMIERE (10) »

LA CAUSE PREMIERE (8)

Quel aliment Nietzsche nous donne-t-il à ruminer ? Et comment nous le présente-t-il ?  « Le problème de la valeur de la valeur de la vérité s’est-il présenté à nous, ou est-ce nous qui l’avons abordé ? Qui est ici Œdipe ? Qui est le sphinx ? C’est-, semble-t-il un rendez-vous de questions et de points d’interrogation . Et, le croira-t-on ?Lire la suite « LA CAUSE PREMIERE (8) »

LA CAUSE PREMIERE (6)

Transposée dans les rapports sociaux, la thèse invite à comprendre ce qui produit le remplacement bon/mauvais (sans jugement moral) par méchant/bon (avec jugement moral),  autrement dit comment l’homme du ressentiment parvient à faire de l’homme bon de la race supérieure, un méchant, et pourquoi il finit par l’emporter sur lui en se convainquant que lui,Lire la suite « LA CAUSE PREMIERE (6) »

LA CAUSE PREMIERE (5)

Le marteau frappant dans la morale renverse les définitions. Pour Nietzsche, ce qui est « bon » n’est pas défini par l’autre, celui à qui serait destiné l’acte qu’il qualifierait alors de « bon » pour lui et dont il dira qu’il est accompli par quelqu’un de « bon » : le bon n’a rien à voir avec l’altruisme. Non. Ce quiLire la suite « LA CAUSE PREMIERE (5) »

LA CAUSE PREMIERE (4)

Quelle différence essentielle entre le tableau, la composition musicale et l’écrit ? C’est sans doute, par-delà les formes, la perception du sens que l’on attend – semble-t-il – plus spontanément de l’écrit que des touches de peinture ou des notes de musique. La fonction première de l’écriture – comme celle de la parole – est l’utilitéLire la suite « LA CAUSE PREMIERE (4) »