Jean-Sébastien Bach : Matthäus Passion – BWV244 – Passion selon Matthieu (6 – fin 2)

Ce qui fait sortir la musique de Bach de l’église où sa pertinence liturgique n’est que de commande, ce qui l’en expulse (dans le sens de l’accouchement), c’est ce qu’elle dit du rapport entre le corps et l’esprit, que traduit l’art du contrepoint (la fugue, particulièrement) et sa combinaison avec l’harmonie ; autrement dit, la superpositionLire la suite « Jean-Sébastien Bach : Matthäus Passion – BWV244 – Passion selon Matthieu (6 – fin 2) »

Jean-Sébastien Bach : Matthäus Passion – BWV244 – Passion selon Matthieu (6 – fin 1)

Oui… il y aura une fin 2. Il ressort de ces observations que la musique de la Passion n’est pas une musique d’accompagnement du récit, et c’est bien l’impression d’une distorsion, ou, si l’on préfère, d’une énigme, qui est à l’origine de mon questionnement. Autrement dit : celui qui connaît le récit de l’Evangile de MatthieuLire la suite « Jean-Sébastien Bach : Matthäus Passion – BWV244 – Passion selon Matthieu (6 – fin 1) »

Jean-Sébastien Bach : Matthäus Passion – BWV244 – Passion selon Matthieu (4)

Avant les exemples, il n’est pas inutile de préciser que le récit évangélique pouvait poser quelques questions aux croyants, plus particulièrement la contradiction entre la nature aimante de Dieu-Père et le surprenant scénario qu’il a imaginé pour sauver les hommes-pécheurs : concevoir un fils pour qu’il soit crucifié. Sans être Dieu, il est tout àLire la suite « Jean-Sébastien Bach : Matthäus Passion – BWV244 – Passion selon Matthieu (4) »