« Le groupe américain, dont les bénéfices ont explosé depuis un an, conteste la légalité de la « contribution temporaire de solidarité » décidée par la Commission européenne. » (A la Une du Monde – 29.12.2022)
Quelques réactions :
« Je ne lirai pas. Je n’achèterai aucun produit de ce groupe. Je me fous des desiderata de ce groupe. L’UE et les membres doivent être absolument intransigeant avec les profiteurs de catastrophes. »
« Mesure punitive : BOYCOTT 6 MOIS. Éventuellement renouvelable. »
« Ce ne sont pas les super profits qui sont le problème, mais les difficultés financières des citoyens touchés durement par la crise de l’énergie.
On sait malheureusement depuis presque toujours que les intérêts des actionnaires et des grands dirigeants de la plupart, pour ne pas dire toutes, les compagnies de ce type passent avant les valeurs de solidarité. Je préfère ne pas approfondir… »
« Une seule solution : ne plus laisser un seul euro dans les stations de la marque. Quand on fait des pertes, on ne paye pas de taxes sur les superprofits. Employons nous donc à sécuriser les pertes de ce superpollueur planétaire à leur niveau le plus élevé »
Ma contribution :
Tant qu’un tel comportement – Exxon Mobil en est une des expressions les plus manifestes, une parmi d’autres, voyez du côté d’E. Musk – ne sera pas diagnostiqué « pathologique » par un consensus majoritaire, ce qui suppose une remise en cause, par un consensus analogue, de l’équation commune « être = avoir + », le rapport production/consommation ne changera pas, l’état de la planète continuera à se dégrader, comme les relations humaines, et la porte restera grande ouverte pour les indignations morales, les appels à des boycotts de même nature, qui, faute d’efficience, procurent la bonne conscience dont a besoin le système pour continuer à fonctionner.