La question de l’épicentre Je prends le terme dans son sens sismologique, à savoir le point central d’un tremblement de terre, pour l’appliquer à la littérature : y-a-t-il dans une œuvre littéraire, un épicentre à partir duquel se développent les ondes du sens ? Pour Le pont Mirabeau, (cf. article : littérature 1) je dirai « je demeure ».Lire la suite « Littérature 2 (Montesquieu – Molière) »