La femme adultère

Parmi les réactions relatives au mariage des deux pasteurs homosexuelles (article du même jour), celle-ci, d’un lecteur hostile, répondant à un commentaire favorable qui invoque l’amour du Christ :

« L’amour du Christ n’exclut pas la correction fraternelle qui est une marque d’amour. Oui il faut aimer son prochain de tout son cœur, et le Christ n’a pas de leçons d’inclusivité à recevoir, lui qui fréquentait principalement les pécheurs et publicains, mais il faut savoir condamner le monde dans ce qu’il a de déviant. Jean 8 : Jésus dit à la femme adultère, que les scribes et pharisiens voulaient lapider : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. » 

Ma réponse à ce point de vue qui n’est pas sans rappeler l’argumentaire qu’utilisait l’Inquisition :

A propos de la femme adultère : le discours, aujourd’hui, serait plutôt un questionnement, du genre : qu’est-ce qui ne fonctionne pas bien dans le couple ? Et puis, ne trouvez-vous pas curieux que ce soit une femme qui soit choisie dans cette histoire et non un homme ?

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