Le commun aujourd’hui (7)

                                             – la conscience- Du point de vue même que Marx oppose radicalement à celui de Hegel (cf. article 5) son explication de la spécificité qu’acquiert l’homme par « l’organisation corporelle » (cf. article 6) n’est pas pertinente. La simple observation permet de constater que cette organisation est analogue à celle, par exemple, des mammifères. Comme l’homme,Lire la suite « Le commun aujourd’hui (7) »

Le commun aujourd’hui (5)

Pertinente dans l’analyse du rapport entre l’homme et la religion, l’analyse de Marx procède cependant à l’amalgame entre religion et foi. Si, comme je l’ai précisé, la foi n’est pas dissociable d’une dimension sociale (même les moines – du grec monos = seul – , et même les plus reclus – les Chartreux – ontLire la suite « Le commun aujourd’hui (5) »

Introduction à la lecture de l’Ethique de Spinoza (9). Conclusion.

L’homme a pour essence spécifique d’être une unité constituée d’un corps et d’un esprit dont les actes respectifs – les mouvements physiques, chimiques, électriques / les idées, et les perceptions qu’en a l’individu –  sont sous des formes différentes l’expression de l’unité de la Nature. L’idée première est l’idée du corps, c’est-à-dire l’idée produite parLire la suite « Introduction à la lecture de l’Ethique de Spinoza (9). Conclusion. »

L’homme, la grenouille et la carotte

                              La conclusion de l’essai* sur Les gilets jaunes a parfois suscité la critique suivante : il n’est pas possible d’enseigner la mort parce qu’on ignore ce qu’elle est. *Rappel de la thèse : ce qu’on nomme « crise » des gilets jaunes est l’expression française d’une dépression collective profonde, planétaire, née de l’épuisement des esquives (religieuses et politiques)Lire la suite « L’homme, la grenouille et la carotte »