Ce matin le ciel était presque bas et lourd comme un couvercle – Baudelaire, qui n’est pas principalement connu pour un sens développé de l’humour, me fait quand même un clin d’œil – jusqu’à la cantate BWV 111 et, surtout, la Grande fantaisie et fugue pour orgue en sol mineur BWV 542 de Bach, diffuséesLire la suite « Journal – 8 (21/01/2024) »