Le titre renvoie à un impossible. Écrire l’instant de sa mort ne peut pas être un présent. Il peut être l’instant d’avant quand le moment de la mort est connu. En témoignent, entre autres, les lettres de Guy Môquet et de Missak Manouchian. Le premier fut le plus jeune (20 ans) du groupe des 27Lire la suite « L’instant de ma mort – Maurice Blanchot (1) »